Principaux changements
Q : Quel est l’objectif de cette mise à jour des standards de B Lab ?
R : Les standards de B Lab évoluent en continu depuis leur création. Ils sont régulièrement mis à jour sur la base de la recherche et des retours d’un large éventail de parties prenantes. Depuis le lancement de la certification B Corp il y a plus de 18 ans, ils ont ainsi été actualisés à sept reprises.
B Lab a publié le 8 avril 2025 une refonte majeure de ses standards, officiellement désignée comme la version 2.0, connue sous le nom de « nouveaux standards ». Le 12 août 2025, B Lab a publié la version 2.1, une mise à jour mineure visant à renforcer la clarté et la précision des standards, afin de mieux accompagner les entreprises dans l’amélioration de leur impact et de faciliter leur transition vers les nouveaux standards en vue de la certification.
Q : Quels sont les principaux changements apportés dans cette nouvelle version des standards B Corp ?
R : Cette version mise à jour (V2.1) comprend des corrections et des clarifications, ainsi que de nouveaux ajustements aux Exigences de Base et aux exigences relatives aux thématiques d’impact, notamment :
Nouveautés :
Un nouvel outil de profil de risque a été intégré (dans l’Exigence de Base 3.1 : « L’entreprise crée un profil de risque et se conforme aux éventuelles sous-exigences supplémentaires ») pour aider les entreprises à identifier, gérer et atténuer les risques qui ne sont pas couverts ailleurs dans les standards.
Des sous-exigences mises à jour (dans l’Exigence de Base 1.2 : « L’entreprise n’est pas impliquée de manière significative dans des secteurs d’activité incompatibles avec la théorie du changement de B Lab ») permettent aux entreprises de mieux comprendre les critères d’éligibilité à la certification, ainsi que le calendrier applicable pour les B Corp existantes et les entreprises en cours de certification.
Améliorations en matière de clarté et d’accompagnement :
Un contenu renforcé pour chaque thématique d’impact, afin de clarifier les attentes et d’éviter les redondances.
La version PDF téléchargeable des standards inclut désormais une introduction et une table des matières.
Des définitions clés ont été ajoutées ou révisées, avec une mise en forme améliorée pour en faciliter la lecture.
La manière de désigner les versions des standards de B Lab a été revue afin de renforcer la cohérence.
Amélioration de la plateforme B Impact :
Un espace documentaire (Document Hub) a été ajouté à l’auto-évaluation dans B Impact, afin de faciliter la gestion de projet pour les entreprises.
Ces évolutions reflètent l’engagement de B Lab en faveur de l’amélioration continue, fondée sur l’application concrète des standards et les retours des parties prenantes. Chaque mise à jour vise à rendre le processus plus clair pour les entreprises, tout en maintenant le niveau d’exigence qui fait la rigueur de la certification B Corp. Pour en savoir plus sur chacune de ces évolutions, consultez les sections ci-dessous.
Q : Je pensais que les nouveaux standards de B Lab étaient définitifs. D’autres mises à jour sont-elles prévues ?
R : Les enseignements tirés des auto-évaluations des entreprises, du développement des processus de vérification et de la mise en œuvre des nouveaux standards pourraient donner lieu à de futures améliorations.
Aucune nouvelle mise à jour des standards n’est prévue d’ici la fin de l’année 2025. Des informations complémentaires sur le nouveau processus de certification seront partagées plus tard en 2025.
Désignation des standards
Q : Comment dois-je désormais parler des nouveaux standards ? Puis-je encore utiliser “V7” ?
L’appellation officielle est désormais les standards de B Lab, quel que soit le numéro de version. C’est cette formulation qu’il convient d’utiliser de manière générale.
Même si les nouveaux standards ont parfois été appelés « V7 » de manière informelle, cette désignation ne rendait pas compte de l’ampleur de leur évolution. La version lancée en avril 2025 a donc été nommée V2.0, pour refléter clairement la rupture avec les versions précédentes.
Ce nouveau système de version est pensé pour durer : il permet d’intégrer à la fois des mises à jour majeures et des ajustements progressifs, dans une logique d’amélioration continue. Par exemple, la mise à jour mineure la plus récente, publiée le 12 août 2025, porte le nom de V2.1.
Exigences de Base
Outil de profil de risque
Q. Comment les impacts négatifs d’une entreprise sont-ils pris en compte dans les nouveaux standards ?
R : Dans les standards de B Lab, les impacts négatifs d’une entreprise sont évalués à la fois à travers les Exigences de Base et les exigences relatives aux différentes thématiques d’impact.
L’Exigence de Base FR3.1 (« L'entreprise crée un profil de risque et se conforme aux éventuelles sous-exigences supplémentaires ») introduit un nouvel outil de profil de risque. Cet outil permet à l’entreprise d’identifier les risques inhérents à ses activités. En fonction de ce profil, elle peut être tenue de satisfaire à des sous-exigences supplémentaires relevant des thématiques d’impact. Cette approche permet d’adapter les attentes en matière de diligance raisonnable à la réalité des risques et à la taille de l’entreprise.
Les impacts négatifs sont également traités dans d’autres Exigences de Base et thématiques d’impact. Par exemple, dans la thématique Action Climatique, les entreprises doivent élaborer un plan d’action aligné avec l’objectif de limitation du réchauffement à 1,5 °C. Autre exemple : dans la thématique Droits Humains, l’exigence DH3.2 impose aux entreprises de prendre des mesures pour prévenir et atténuer leurs impacts sociaux négatifs.
Q : Qu'est-ce que la sous-exigence EB3.1 et en quoi a-t-elle changé ?
EB3.1 (FR3.1 en anglais) est une sous-exigence des Exigences de Base. Elle fait partie des dispositifs intégrés dans les nouveaux standards pour traiter les impacts négatifs potentiels des entreprises, notamment les risques, et les accompagner dans une démarche d’amélioration continue.
Dans sa version actualisée, EB3.1 intègre un nouvel outil de profil de risque, conçu pour aider les entreprises à évaluer leurs impacts négatifs potentiels et à les identifier, les prévenir et les atténuer de manière proactive.
Q : Qu’est-ce que l’outil de profil de risque, et quel sera son impact sur mon évaluation ?
Pour répondre à la sous-exigence FR3.1 (EB3.1 en français), les entreprises doivent remplir l’outil de profil de risque, qui comprend 14 questions portant sur des pratiques à risque prioritaire non couvertes ailleurs dans les standards. En fonction de leurs réponses, des sous-exigences spécifiques seront ajoutées à leur évaluation. Les réponses à ces 14 questions seront visibles sur le profil public B Corp de l’entreprise.
Ces exigences supplémentaires relèvent de la diligence raisonnable: elles correspondent aux démarches que les entreprises doivent entreprendre pour identifier, prévenir et atténuer leurs impacts négatifs. Cela garantit que les entreprises dont les activités présentent des risques plus élevés sont soumises à des exigences de supervision proportionnées.
Lorsqu’une entreprise doit répondre à ces exigences renforcées, elle devra prendre en compte le risque identifié, par exemple en l’intégrant à son analyse de matérialité.
Pour plus de détails, veuillez consulter l’article de la base de connaissances : FR3 Narratives.
Q : Ce nouvel outil s’applique-t-il à toutes les tailles d’entreprise ?
R : L’exigence EB3.1 (FR3.1 en anglais) s’applique à toutes les tailles d’entreprise, à l’exception des entreprises individuelles et des entreprises de taille Micro.
Si votre entreprise est considérée comme une entreprise de taille Micro ou qu’il s’agit d’une entreprise individuelle, vous êtes alors exempté de l’exigence EB3.1. Cette exemption tient compte du fait que ces très petites entreprises présentent un profil de risque naturellement plus faible.
Pour en savoir plus sur la définition des tailles d’entreprise, vous pouvez consulter cet article
Q : Cela signifie-t-il que mon entreprise est inéligible à la certification si elle exerce certaines de ces pratiques ?
Les entreprises impliquées dans des pratiques mentionnées dans l’outil de profil de risque peuvent être éligibles à la certification. Elles doivent toutefois déclarer leur implication dans ces pratiques et, le cas échéant, répondre à des sous-exigences supplémentaires visant à en atténuer les impacts négatifs.
Q : Quand l'outil de gestion des risques sera-t-il accessible au public ?
R : Depuis le 12 août 2025, B Lab a publié le contenu de l’outil de profil de risque dans B Impact. Il comprend 14 questions et leurs implications (sous-exigences FR3.1.a à FR3.1.n, soit EB3.1.a à EB3.1.n en français). Cela permet à toutes les entreprises d’évaluer dès à présent leur profil de risque et de savoir si des sous-exigences supplémentaires s’appliquent dans certaines thématiques d’impact, leur laissant ainsi le temps de s’y préparer.
D’ici octobre 2025, B Lab intégrera cet outil de manière fonctionnelle à la plateforme d’évaluation, sous la forme d’une fonctionnalité interactive et automatisée. À ce moment-là, toute réponse affirmative à l’une des 14 questions entraînera automatiquement l’ajout des sous-exigences concernées dans l’auto-évaluation de l’entreprise.
Q : Les réponses de l’entreprise à l’outil de profil de risque seront-elles vérifiées ?
B Lab ne procèdera pas à une vérification directe des réponses de l’entreprise à l’outil de profil de risque. Toutefois, le profil de risque de l’entreprise sera affiché publiquement sur son profil public B Corp.
Ce dispositif repose sur les principes de transparence et de prévisibilité, afin d’aligner le niveau de vigilance attendu sur le niveau de risque identifié, à grande échelle.
Conformément à l’exigence EB1.4 (FR1.4 en anglais), les entreprises doivent fournir à B Lab des informations exactes et complètes. Si un tiers dépose une plainte indiquant qu’une entreprise B Corp a déformé son profil de risque, B Lab examinera la situation et pourra réévaluer la certification de l’entreprise. Nous encourageons toute personne ayant des préoccupations à utiliser le processus de plainte public mis en place par B Lab.
Éligibilité
Q : Qu'est-ce que la sous-exigence EB1.2 et en quoi a-t-elle changé ?
R : L'Exigence de Base EB1.2 ("l'entreprise n'est pas impliquée de manière significative dans des secteurs incompatibles avec la théorie du changement de B Lab") est une sous-exigence des standards de B Lab qui limite l'implication de l'entreprise dans des secteurs non éligibles.
Dans cette version (V2.1), B Lab a mis à jour les sous-exigences afin que les entreprises comprennent mieux leur éligibilité à la certification. Les changements apportés modifient également le calendrier de mise en œuvre de ces sous-exigences, offrant ainsi aux entreprises certifiées B Corp existantes une période de transition pour se conformer aux nouveaux standards. Les principales mises à jour sont les suivantes :
La suppression du critère de conformité basé sur les « moins de 1 % des actifs sous gestion » pour les entreprises du secteur financier. Ce critère est mis en pause en attendant la définition d’exigences plus fines à l’avenir. L’exigence EB1.2 (FR1.2 en anglais) continue toutefois d’interdire la certification des entreprises (y compris les acteurs financiers) générant 1 % ou plus de leur chiffre d’affaires annuel auprès de clients opérant dans des secteurs inéligibles.
Les entreprises déjà certifiées B Corp disposeront désormais jusqu’à l’année 3 (Y3) de leur cycle de certification pour répondre aux exigences d’éligibilité prévues par EB1.2, conformément à la pratique historique de B Lab. Les nouvelles entreprises souhaitant se certifier devront, elles, satisfaire à ces exigences dès l’Année 0.
De nouveaux critères de conformité imposeront aux entreprises en lien avec les impacts négatifs de secteurs inéligibles d’en faire mention publiquement sur leur profil public B Corp.
B Lab s’engage à accompagner les entreprises dans leur démarche d’amélioration d’impact, tout en leur donnant dès le départ une visibilité claire sur leur éligibilité. La sous-exigence EB1.2 permet d’apporter cette clarté en amont du processus de certification, tout en veillant à ce que les entreprises certifiées B Corp ne compromettent pas la théorie du changement de B Lab par des activités liées à des secteurs inéligibles.
Q : Comment B Lab a-t-il défini la liste des secteurs inéligibles ?
R : Les secteurs considérés comme inéligibles dans la sous-exigence EB1.2 présentent tous des impacts sociaux ou environnementaux négatifs systémiques que les entreprises ne peuvent pas atténuer de manière isolée.
Pour établir cette liste, B Lab a suivi une démarche similaire à celle utilisée pour l’élaboration des standards dans leur ensemble. Cela inclut des phases de recherche, la mobilisation d’expertises externes (notamment l’intégration de listes d’exclusion comme celles de l’IFC ou de la Banque européenne d’investissement), des consultations publiques avec les parties prenantes, puis une validation par les instances de gouvernance de B Lab.
Q : Comment B Lab définit-il un « secteur inéligible » ?
R : B Lab considère comme inéligibles les secteurs dont les produits ou services vont à l’encontre de sa théorie du changement. Dans les standards de B Lab, la sous-exigence EB1.2 (FR1.2 en anglais) précise ces critères d’éligibilité de manière plus explicite.
Une entreprise ne peut pas obtenir la certification si elle génère 1 % ou plus de son chiffre d’affaires annuel à partir des clients opérant dans un tel secteur, notamment :
Production de combustibles fossiles
Jeux de hasards
Pornographie
Prisons et centres de détention (y compris le travail carcéral)
Tabac
Armes
B Lab définit les « activités qui portent atteinte aux parties prenantes » comme toute activité par laquelle une entreprise cause ou contribue aux impacts négatifs associés à ces secteurs.
Q : Comment savoir si mon entreprise cause, contribue ou est liée à l’un de ces secteurs inéligibles ?
R : Tout dépend de la nature du lien entre l’entreprise et l’impact négatif en question. Une entreprise peut être directement impliquée dans un secteur inéligible, ou avoir des clients opérant dans un tel secteur. Dans ce second cas, des exigences supplémentaires peuvent s’appliquer pour déterminer son éligibilité à la certification B Corp.
Les entreprises sont invitées à lire attentivement la sous-exigence EB1.2 dans son intégralité, notamment les sections Clarification des critères de conformité et Informations complémentaires.
Q : Dans la sous-exigence EB1.2, le seuil de 1 % s’applique-t-il à chaque secteur inéligible pris séparément, ou de manière cumulée ?
R : Le seuil de 1 % s’applique à chaque secteur inéligible pris individuellement.
Q : Qu’est-ce qui a changé pour les entreprises du secteur financier ?
R : Afin d’accompagner les entreprises du secteur financier dans leur sortie progressive des investissements liés à des secteurs inéligibles, une approche plus adaptée est nécessaire par rapport aux critères de conformité initialement prévus dans la première version de la sous-exigence FR1.2 (EB1.2 en français), publiée en avril.
Le critère de conformité fondé sur « moins de 1 % des actifs sous gestion » a donc été retiré, dans l’attente de la mise en place d’exigences plus nuancées, tenant compte du rôle plus large que joue ce secteur au regard de la théorie du changement de B Lab.
Les entreprises du secteur financier devront néanmoins satisfaire à la sous-exigence EB1.2, notamment en générant moins de 1 % de leur chiffre d’affaires annuel dans chacun des secteurs inéligibles listés.
Q : À quel moment les entreprises doivent-elles se conformer à la sous-exigence EB1.2 ? Existe-t-il une période de transition ?
R : B Lab souhaite accompagner la transition de la communauté B Corp existante vers les nouvelles exigences d’éligibilité définies par FR1.2 (EB1.2 en français). Cette exigence permet d’apporter de la clarté en amont du processus de certification, tout en veillant à ce que les entreprises certifiées ne compromettent pas la théorie du changement de B Lab en collaborant avec des secteurs inéligibles.
Pour faciliter cette transition, les B Corp déjà certifiées disposeront jusqu’à l’année 3 (Y3) de leur cycle de certification pour se mettre en conformité avec EB1.2.
Les nouvelles entreprises se certifiant selon les standards devront, quant à elles, satisfaire à cette exigence dès l’Année 0.
Cette approche est cohérente avec les précédentes évolutions des standards liés au risque, où les entreprises B Corp disposaient d’un cycle complet pour se mettre en conformité. Néanmoins, B Lab encourage toutes les entreprises à répondre à ces exigences le plus tôt possible.
Exigences des Thématiques d'Impact
Q : Comment savoir où d’autres changements ont été apportés ?
R : B Lab s’engage à partager de manière transparente toutes les modifications et mises à jour des standards afin de garantir une communication claire avec l’ensemble des parties prenantes. Vous pouvez consulter l’ensemble des changements apportés à cette version (V2.1) dans cet article de la base de connaissances : Change Log.
Voici quelques changements notables par thématique d’impact :
Mission et Gouvernance des Parties Prenantes (MGPP) : Références temporelles clarifiées (conversion des années en mois), Ressources pour la mise en œuvremises à jour, section Clarification des critères de conformité allégée, et Critères de conformité renforcés, notamment avec l’ajout d’une exigence de cartographie des parties prenantes dans MGPP2.1.
Travail Équitable (TE) : Clarification des conditions d’applicabilité selon les effectifs, précisions sur les délais, et simplification de la section Clarification des critères de conformité. Le Critère de conformité TE3.2.4 (« Tous les collaborateurs peuvent devenir représentants ») a été retiré, certaines personnes pouvant être légalement ou légitimement inéligibles (par exemple, en période d’essai).
Justice, Équité, Diversité et Inclusion (JEDI) : Les exigences JEDI1.1 et l’ancienne JEDI1.2 ont été fusionnées afin que l’applicabilité des Critères de conformité soit clairement déterminée en fonction des effectifs. La section Clarification des critères de conformité a également été enrichie pour en faciliter l’interprétation.
Droits Humains (DH) : Références temporelles clarifiées, Ressources pour la mise en œuvre mises à jour, et simplification de la section Clarification des critères de conformité. Les exigences DH3.2 et l’ancienne DH3.3 ont été fusionnées (leur contenu étant identique), et la nouvelle DH3.2 s’applique désormais aux entreprises de taille Grande, XLet XXL.
Action Climatique (AC) : Références temporelles clarifiées. Trois sous-exigences (AC1.2.1, AC1.2.2 et AC1.2.3) sont désormais également applicables au secteur « Services à faible empreinte ». La norme ISO 14064-1:2018 a été intégrée comme méthode reconnue de mesure des émissions, afin de mieux refléter la diversité des méthodologies utilisées.
Gestion Environnementale et Circularité (GEC) : Références temporelles clarifiées et section Clarification des critères de conformité allégée. Le Critère de conformité de GEC1.2 relatif aux sources renouvelables à faible impact a été retiré afin d’assurer la pertinence du standard à l’échelle mondiale. Une approche progressive de la mesure a été introduite pour les sous-exigences GEC1.1 à GEC1.4.
Affaires Publiques et Action Collective (APAC) : Mise à jour des Ressources pour la mise en œuvre, correction des erreurs typographiques et suppression du contenu redondant. Des informations complémentaires ont été ajoutées pour la déclaration publique des contributions financières et en nature à des actions sans lien avec des campagnes électorales.
Q : Dans B Impact, je vois les exigences pour l’Année 0, mais dans les PDF téléchargeables, il y a aussi des sous-exigences prévues pour les Années 3 et 5. Mon entreprise doit-elle montrer ce qu’elle prévoit pour ces échéances ?
R : Lors de l’audit de l’Année 0, les entreprises ne sont pas tenues de présenter ce qu’elles prévoient pour les Années 3 ou 5. Ces éléments seront évalués au moment des audits correspondants.
Les standards visibles dans l’évaluation sont filtrés selon la taille, le secteur et l’industrie de l’entreprise. Dans les sous-exigences de l’Année 0, certaines peuvent mentionner des actions à mettre en œuvre aux Années 3 ou 5, mais lors de l’audit, seules les sous-exigences propres à l’année concernée (Année 0, 3 ou 5) seront examinées.
Certaines sous-exigences s’appliquent à plusieurs étapes du cycle. Même si une exigence ne sera évaluée qu’à un audit futur, le fait de la rendre visible dès maintenant permet aux entreprises de mieux anticiper et de se préparer en amont.
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